Les souvenirs de voyage…les meilleurs souvenirs que j’ai

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Pour moi, aller à l’aventure, signifie commencer par réfléchir où tu veux aller ou ce que tu as envie de faire tout en étant complètement ouverte à d’autres opportunités car ce sont les choses imprévues qui créent les meilleurs souvenirs.

Il n’est pas malvenu de dire que prendre un mauvais tournant c’est une bénédiction qui est déguisée mais soyons honnête, on ne le réalise qu’après. Les chances sont les photos de quelqu’un ou un voyage qui vous a inspiré pour prendre un billet aller-retour tout de suite.

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Peut-être que le mien vous inspire maintenant. Vous rêvez de vous rendre dans les endroits que vous avez vus sur les photos et une fois que vous y êtes, vous voulez avoir une photo similaire. Mais devez créer vos propres paysages.

En découvrant des endroits au hasard et en vous perdant, vous trouverez des coins aussi beaux qu’uniques, à capturer.

Vous montrerez à vos amis et famille, vos photos de vacances qui seront un peu plus intéressantes.

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Les souvenirs de voyage permettent de garder les choses en mémoire et de les avoir ensemble même si on ne les met pas dans un album. Si j’ai appris quelque chose de toute cette expérience c’est que les souvenirs sont l’une des choses les plus importantes que l’on possède. Chaque jour passé en Palestine sont une superbe aventure et retourner à mon ancienne vie est déjà un gros challenge en soi.

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Nous vivons au jour le jour, faisant face à des défis et des aventures dans la réalité dans laquelle nous vivons. Ce fut un honneur d’avoir pu faire partie de cette vie, ici.

Nos souvenirs sont les héros qui sacrifient leurs vies chaque jour pour cette terre. Les checkpoints que nous devons traverser d’une ville à l’autre, l’attente pendant des heures jusqu’à ce que les soldats décident de bien vouloir vous laisser passer. Chaque jour en Palestine est écrit dans l’Histoire et je suis fière d’en faire partie.

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Olivia Odeh

 

 

 

Un nouveau regard…de nouvelles perspectives

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Un ami, m’a récemment dit : c’est vrai que tu vas revenir à ton ancienne vie mais rappelle-toi que tu y retournes avec un nouveau regard et tu vas commencer à voir les choses sous une autre perspective. Tu seras étonnée d’agir différemment même dans les mêmes situations auxquelles tu faisais face qu’auparavant. Mais, cela fait partie du changement, devenir adulte. Donc prends ton temps parce que tu auras besoin de beaucoup de temps pour te comprendre et connaître tes positions et savoir où tu vas. Puisqu’on s’inquiète souvent de ce qu’on doit accomplir a parfois, nous sommes victimes du temps et quand on réfléchit à la longue liste de choses à faire, on réalise qu’on a encore du travail à faire sur soi.

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Je dois avouer que le premier moi au Portugal était le plus difficile mais cela me préparait simplement au meilleur qui était encore à venir. J‘étais dans un environnement auquel jamais je n’aurais pu, ne serait-ce que penser, accepter d‘y évoluer. Mais c’est la clé de la vie, je suppose que, quelquefois, il faut se battre contre ce que vous pensez connaître. A mon avis, c’était l’expérience la plus libératrice, vous devez grandir et faire face à vos peurs dans le but d’explorer ce que vous voulez réellement dans la vie.

 

C’était la première fois que je voyageais toute seule, à des milliers de kilomètres de toutes les personnes que j’ai jamais connues. C’était un vrai challenge mais je savais que j’étais chanceuse de pouvoir vivre une telle expérience. Je me suis rendue compte que j’étais en train de vivre les meilleurs moments de ma vie, je riais aux éclats à chaque seconde. J’ai gagné en expérience pour une éternité et qui a complètement bouleversé ma vie et mon monde. J’ai gagné des amis et une famille qui ne me quittera jamais. Je me suis trouvée et plus important encore, tout le long, je n’étais que moi, seulement moi, Natalie.

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Natalie Esmail

Mon stage à ECOS

Cela fait trois mois que je suis revenue de Jordanie et je suis de retour dans ma ville natale (Faro) pour mon deuxième stage à CaBuReRa. J’ai commencé le 10 août à ECOS – Cooperativa de Educação, Cooperação e Desenvolvimento, CRL. J’ai rejoint l’équipe du projet Algarve 2020 – Um Contrato Jovem, un projet sur la participation des jeunes, dans le cadre de la communication de l’évènement du projet « Fórum Juventude Algarve ».

Depuis le début du mois d’octobre, j’ai également rejoint l’équipe Round-trip, un autre projet d’ECOS participant à la communication du projet. Round-Trip concerne la citoyenneté active et démocratique. C’était un défi d’apprendre tous les jours de nouvelles choses dans mon domaine d’études. Ce fut une bonne expérience et l’équipe d’ECOS a été très accueillante dès le début.

A propos d’ECOS :

ECOS – Coopération éducative et développement, CRL est une organisation enregistrée depuis janvier 2010 ayant pour but de répondre à deux challenges :

  • Contribuer à la promotion et à la reconnaissance d’une éducation non formelle comme méthodologie pour le développement humain et la transformation sociale ;
  • Contribuer à l’intégration sociale et unitaire comme agent de développement.

 

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Les bureaux d’ECOS

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« Si tu vis, vis librement, ou meurt, comme les arbres, debout »

A quel point est-ce que le Portugal te manque ? Autant que j’ai inhalé de gaz lacrymogène cette semaine ».

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Ce qui me manque à Faro ce n’est pas seulement m’asseoir près de la marina et y sentir l’agréable brise d’air, ce qui me manque, c’est « la liberté ».

Mahmoud Darwish, un poète palestinien a écrit « Si tu vis, vis librement, ou meurt, comme les arbres, debout ».

Il ne m’est d’aucune utilité d’avoir un port de plaisance à Bethlehem pour sentir que je suis libre, mais ne pas inhaler de gaz lacrymogène, l’est.

Depuis le mois dernier, notre mode de vie en Palestine s’est transformé en « mode actif de résistance». Ce n’était pas par choix, pas pur faire de la politique, c’est la réalité, tout le monde pense que ce n’est que de la politique mais en fait, la « politique c’est ma vie ».

 

La seule chose pour laquelle je me battais quand j’étais à l’étranger, c’était pour sortir de mon lit chaque matin. Je voulais créer à chaque minute, un bon souvenir. Je ne dormais pas beaucoup non plus à Bethlehem car ces derniers temps, j’ai essayé de contacter toutes les personnes que je connaissais pour savoir si elles allaient bien ou peut-être pour avoir un dernier bon souvenir car peut-être que ce serait ma dernière conversation !

 

Bethleem ressemble à une petite prison, tout le monde connaît tout le monde, et c’est ce qui rend les choses d’autant plus difficiles car on ne sait pas qui sera le prochain. Qui, demain, ne sera plus qu’une photo sur un poster ? Une seule balle a suffit pour que j’aie une réponse à ma question, la balle qui a tué mon ami Mutaz, la semaine dernière.

 

Vivre dans cette crainte est différent parce que je n’ai pas peur de perdre quelqu’un que je connais, j’ai peur de perdre toutes les personnes que je connais. Et dans cette perspective, j’ai décidé de profiter de chaque minute avec joie, amour et pardon. Maintenant, je choisis d’être plus forte et plus heureuse.

Aujourd’hui, je décide de résister, de lutter contre la réalité et de vivre, debout, comme un arbre.

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Mon expérience au Liban

L’un des premiers projets sur lequel j’ai travaillé ici, au Portugal, est Slowmed. C’est aussi un projet IEVP CBCMED concernant l’Alimentation comme moyen de dialogue dans le contexte méditerranéen, en partenariat avec 6 pays : le Portugal, l’Espagne, l’Italie, l’Egypte, le Liban et la Palestine. Je pourrais parler du projet en soi mais ce n’était pas la chose la plus importante, rencontrer des gens l’était.

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J’ai rencontré de nombreuses nouvelles personnes et eu la chance d’être avec des personnes du pays dont je revenais, c’était en quelque sorte comme si je revivais les souvenirs de l’expérience CaBuReRa au Liban mais avec un plus, parce qu’il y avait plus de gens.

C’était vraiment incroyable de montrer ma région (Algarve), présenter mes traditions, ma cuisine, mon patrimoine à des personnes qui n’avaient jamais été là et voulaient vraiment goûter aux spécialités culinaires, écouter les histoires, découvrir des endroits…

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Il y avait différent types de personnes, les uns réservés, les autres plus extravertis, parlant avec tout le monde (moi y compris) et voulant vivre et profitant de tout.

C’était vraiment une expérience enrichissante à tous points de vue. D’abord, j’ai pu résoudre un problème : je voulais envoyer un cadeau à mes amis au Liban, et grâce à Patricia, j’ai pu le faire – elle est entrée en contact avec Ahmed et tout a été fait. Incroyable ce que le monde est petit…

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Deuxièmement, je pouvais à nouveau goûter les saveurs et les odeurs qui me manquaient déjà.

Troisièmement, c’était une fructueuse expérience, à tous les niveaux…Je me rappelle que le groupe qui plaisantait et riait toujours était celui de Palestine. L’un d’entre eux m’a dit (après que je lui ai dit qu’ils étaient fous) qu’ils avaient besoin de se divertir et profiter de chaque moment, d’être heureux quand le bonheur est présent … nul besoin d’en dire davantage !

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Mónica Mendonça

 

Des jours inoubliables

A mon avis, les leçons de vie sont plus précieuses et nous enseignent plus de choses que les théories apprises à l’école. Cette mobilité m’a donné l’opportunité d’apprendre des leçons en expérimentant un mode de vie différent de celui auquel je suis habituée. Vivre trois mois à Faro, au Portugal m’a aidé à comprendre les leçons cachées derrière chaque problème auquel j’ai fait face. Jour après jour, je remarque la grande différence que cette mobilité a eue sur moi, ma vie et la touche spéciale qu’elle y a ajoutée.

 

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Oui, il est vrai que « voyager vous laisse sans voix puis vous rend conteur d’histoires ». Et il est que j’ai rendu ma famille dingue à force de m’entendre raconter les mêmes histoires de ces trois derniers mois.

 

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Ce sont les personnes qui ont fait de cette mobilité un moment inoubliable, ces personnes avec qui j’ai des souvenirs et des histoires qui méritent d’être racontées non pas une fois mais des mille fois.

 

 

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Ces journées inoubliables m’ont appris qu’un jour passé sans un sourire dessiné sur votre joli petit visage est un jour gâché.

 

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Dalia Lubbadeh

 

 

Au début, la fin semblait si lointaine

Au début, on ne pense pas combien on voudra gagner une minute de plus dans une rue animée, ou un taxi bondé qui clairement ne peut pas nous contenir tous les six.

Combien nous manquera d’attendre un taxi dans une rue animée ou sentir ce mélange d’épices et d’aliments que vous n’avez jamais goûté auparavant. Combien vous voudrez marcher dans la ville, une fois de plus et voir ses lumières et ses couleurs. Au début, vous ne pensez pas combien le temps passera vite. Combien vous voudrez voir, juste une fois de plus toutes ces personnes et leur façon de raviver la ville. Et la vie suit son court, sans vous…ça fait mal, rien que d’y penser.

J’espère qu’Amman me pardonnera pour toutes les fois où je me suis maudite, pensant combien je voudrais être chez moi, profitant de l’été. C’est un pays d’une beauté simple et d’une nature à vous couper le souffle. Et le temps de m’en rendre compte, la Jordanie a déjà pris une place adorable dans ma mémoire.

 

C’est quelque chose d’injuste, le temps. De près, cela semble éternel et de loin, tellement limité.

Je remercie CaBuReRa de m’avoir donnée l’opportunité de visiter tous les endroits et d’avoir rencontré toutes ces personnes. Ces six derniers mois étaient une sacré expérience et je suis très contente d’avoir pu en la vivre.

 

Pris  en flagrant délit..en train de s’amuser au bureau

A toutes les personnes avec qui j’ai partagé cette expérience et qui étaient m’ont accompagnées pendant trois mois, vous me manquez énormément!

 

Sara Magalhães

TG2 Portuguaise en Jordanie

 

Regard sur la réalité

Le travail développé à MAPS Movimento de Apoio à Problemática da Sida – est une part de réalité avec des gens ordinaires dont la vie a été transformée.

 

A travers cet article, vous regarderez de plus près leurs habitudes, leurs priorités et leurs modes de vie.

Les interventions se font quotidiennement par des visites de terrains leur offrant : du matériel aseptisé, distribution de matériel de prévention, un soutien psychologique et social, des informations et éducation liées à la santé.

 

MAPS tend à s’engager de façon active pour les besoins de la communauté, à travers une éthique essentielle : tout un chacun a le droit de vivre dans la dignité.

 

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C’est la réalité à laquelle doit faire face l’équipe MAPS.

Je remercie toutes les personnes qui m’ont rendu de rejoindre cette belle équipe et j’espère qu’un jour, l’humanité sera basée sur l’amour, la compassion, la paix, le pardon, la solidarité et la bonté.

– Ana Barreto, Portugal

 

Essor : expériences de vie

Depuis que je suis revenue à la maison (Jordanie) et est commencée à travailler au centre Al-Hayat, mon mode de vie a définitivement changé, travaillant avec une équipe pleine de pouvoir, de passion et d’énergie, un groupe de personnes qui travaille et donne de leur cœur parce qu’ils aiment leur travail.

Maintenant, je suis moi-même devenue tellement passionnée par mon travail que ma personnalité en est devenue plus forte et j’ai aussi découvert que je pouvais travailler sous la pression. J’ai envie de me prouver à moi-même et à ma communauté que les femmes peuvent réussir et qu’elles ont le pouvoir de faire changer les choses dans ce monde.

 

A la suite de la conférence du projet RASED avec l’équipe Al Hayat

Travailler avec RASED pour le projet de contrôle du gouvernement m’a ouvert les portes pour entrer dans  la vie politique (http://www.hayatcenter.org/programs/rased-accountability-monitoring/) en apprenant davantage sur les lois, les élections, la rédaction de rapports et en se concentrant sur ce qui est important. J’ai beaucoup apprécié le fait que l’équipe Al Hayat ait travaillé dur pour nous bâtir des compétences dans plusieurs domaines et a fait de notre expérience, une expérience constructive.

Passer 3 mois au Portugal m’a beaucoup aidé à m’améliorer, croire en moi est la chose la plus importante à mes yeux, ce n’était pas la première fois que je quittais la Jordanie toute seule, mais c’était la première fois que je ressentais ce sentiment d’indépendance et d’ambition.

Vivre avec 8 personnes de différentes cultures, pensées, croyances et différents modes de vie m’a démontré que peu importe où la vie me mène, je peux rester moi-même et représenter mon pays de la meilleure manière que je peux.

 

(Sarah, Olivia, Natali, Reem, Baraa, Dalia, Amro, et Wisam ) chacun d’entre eux a apporté une touche spéciale dans ma vie et m’ont rendu meilleure. Grâce à eux, j’ai appris à réfléchir avant de parler, comment faire face à des défis avec le sourire, d’être sage, attentionnée, aimante, forte et responsable.

Je suis bénie d’avoir eu cette chance et ces personnes dans ma vie… Ils sont devenus ma famille.

– Nardeen Sunaa, TG2 en JordanieMy new family

TG2 at the office

Il n’y a pas d’amour sans partage

Il n’y a pas d’amour sans partage

Entre le mois d’octobre et novembre 2015, Sofia, Frederica M., Antea et Frederica N., cinq participantes au projet CaBuReRa ont eu la chance concevoir et de mettre en place leur projet local, nommé, Il Mediterraneo per Noi e per gli Altri – La Méditerranée pour nous et pour les autres visant à,  à travers une série d’activités, sensibiliser sur la région méditerranéenne, son histoire et ses traditions, mais aussi, transmettre le respect des cultures de ces différentes régions.

Les lycéens, en raison de leur jeune âge, sont souvent soumis à un manque de communication ou de la désinformation en termes de connaissances sur les évènements internationaux contemporains. Cela est dû à la large gamme de sources d’information et la confusion générale que cela peut engendrer.

L’idée est de mettre en place, dans différents écoles de Palerme, des activités qui pourraient éveiller les consciences sur la région méditerranéenne, en particulier sur les pays impliqués dans le projet CaBuReRa.

 

Ainsi, trois écoles se sont investies dans le projet et près de 90 étudiants de I. M. S. Regina Margherita, I. I. S. S. Alessandro Volta et le Lycée des Beaux-Arts Vincenzo Ragusa et Otama Kiyohara.

 

Les étudiants, âgés de 17 à 19 ans, ont participé activement à des conférences, des débats, avec des vidéos de présentation, des activités éducatives non-formelles axées sur la figure du migrant, le voyage auquel il doit faire face et les problèmes qui en découlent, les lois qui devraient le protéger.

 

De plus, les étudiants avaient la possibilité d’en apprendre davantage sur les flux migratoires, les conflits armés mais également de connaître les opportunités de vivre une expérience à l’international grâce à un projet de mobilité comme celui de CaBuReRa.

 

En outre, le thème de la guerre civile en Syrie, le phénomène du djihadisme ont été présentés afin d’expliquer la dramatique vague de migration causée par le conflit.

 

 

Les commentaires des étudiants étaient bouleversants : les activités leur ont permis d’en apprendre davantage sur les évènements du monde d’aujourd’hui. Ils étaient très actifs et ont participé à toutes les sessions.

Sofia, Federica M., Antea, Marta, Federica N., et CESIE voudraient remercier toutes les écoles pour leur participation :

  • M. S. Regina Margherita,
  • I. S. S. Alessandro Volta,
  • A. S. Vincenzo Ragusa et Otama Kiyohara.

 

Un merci particulier aux directeurs d’écoles et aux professeurs qui ont rendu possible ce projet, qui nous ont soutenues à la réalisation de nos objectifs avec d’excellents résultats.

Ce fut une expérience formidable, autant pour les 5 jeunes filles de CaBuReRa que pour les étudiants qui ont ouvertement exprimer leur enthousiasme.

Les craintes du début ont été remplacées par une importante expérience éducative.

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